« Yes we cook : recettes made in USA » de Julie Schwob (éd. Mango).
Voilà un livre que j’aimerais bien tester mais comme tout me fait envie, je ne sais pas par où commencer. Alors en attendant d’expérimenter les bluberry muffins, le gumbo de poulet ou la Cobb salad, je vous donne mes premières impressions sur la présentation des recettes.
Pour commencer, j’aime bien leur classement. On aurait pu avoir « entrées – plats – desserts » mais l’auteur a préféré une répartition géographique ou par grandes occasions. Voici le sommaire :
– L’american breakfast
– Les sauces américaines faites « maison »
– Gourmandises pour les sweet teeth
– New York, l’urban food et les cocktails
– Recettes de la côte est
– La soul food des états du Sud
– La cuisine cajun de la Louisiane
– Le tex-mex
– Les états du soleil : Floride et Californie
– La cuisine des grands espaces : Montana et Nevada
– La cuisine de fête : Halloween, Thanksgiving et Noël
Ça donne un petit côté guide de voyage des plus agréables.
Chaque chapitre débute ensuite par une brève introduction sur les particularités gastronomiques et historiques de la région. Puis on entre dans le vif du sujet avec la présentation de quelques recettes emblématiques. Par exemple : Jambalaya aux crevettes pour la Louisiane, Key lime pie pour la Floride, Pièce de boeuf façon T-Bone steak pour le Montana… Miam, miam.
Et puis à chaque fois, Julie Schwob nous donne quelques repères culturels pour savoir d’où vient le plat. C’est toujours appréciable quand on a des invités de pouvoir leur expliquer : « Et en plat de résistance, je vous ai préparé un Hoppin’John. C’est un plat typique de la soul food à base de cornilles ou black eyed peas (oui, comme le groupe) et de riz…. » D’un coup, t’as l’air vachement intelligent devant tes invités. Bon, c’est sûr, vaut mieux que le repas soit bon, sinon c’est la honte.
Quoi qu’il en soit, j’ai été agréablement surprise en découvrant grâce à ce livre la richesse et la diversité de la cuisine américaine qui ne se résume pas aux « hamburgers – frites – donuts » comme on a trop tendance à le croire.
Bon, c’est pas tout ça, mais j’ai faim moi maintenant.
Allez, à taaable !!!
Mois : septembre 2010
Jouons un peu
Pour jouer, Nanard qui a servi de cobaye (une fois de plus), conseille de colorer les mots trouvés (en rouge, par exemple).
Pour ce faire, vous devez téléchargez le fichier sur votre ordinateur en cliquant ici. Puis, dans la nouvelle fenêtre en bas à droite, sélectionnez « Download » (le gros bouton vert), et enfin « .xls ».
Y a plus qu’à.
Amusez-vous bien.
Mise à jour du 29/09/10 : Oups ! je viens de m’apercevoir que le téléchargement au format « .xls » n’est possible que si vous avez un compte Scribd. Si ce n’est pas le cas, il vous reste la possibilité d’imprimer, ou de vous inscrire sur Scrib.
Si vous avez 2824,47 € à dépenser…
… voici l’objet qu’il vous faut : Le cactus porte-manteau ! (hors frais de port évidemment).
Sympa pour donner un petit côté « Désert des Mojaves » à votre entrée, non ?
Bal chez Bibi
Johnny Cash : une vie en BD
J’attendais beaucoup de ce livre dont on m’avait dit le plus grand bien et je suis un peu déçue.
Pour moi, la lecture a été poussive et j’ai été obligée plusieurs fois de revenir en arrière et de relire une même case parce que j’avais du mal à comprendre qui disait quoi. La faute aux bulles pas toujours bien placées à mon goût. Du coup, à chaque fois, ça me coupait dans mon élan et c’était vraiment très désagréable. J’ai pourtant persisté et j’en suis heureuse parce que sinon je n’aurais pas lu la fin et cela aurait été vraiment dommage. La dernière partie est un vrai bijou : le portrait de J. Cash dans sa vieillesse est juste et sensible et il s’en dégage une véritable émotion. J’aurais tant aimé que tout le recueil soit de ce qualibre ! Mais peut-être avais-je placé la barre un peu haut suite à tous les éloges que j’avais entendus ?
Johnny Cash : une vie (1932-2003) / Reinhard Kleist – Dargaud, 2008.