Après la nuit

Il me semble me souvenir que j’ai commencé ce blog parce que je lis beaucoup et que je ne trouvais pas pratique de mettre mes coups de cœur sur mon vieux site. Or, quand je regarde les articles que j’ai écrit jusqu’ici, c’est loin d’être le cas.
Il est grand temps d’y remédier.
Donc, je me lance et j’attrape une BD au hasard.

apres la nuitAprès la nuit de Meunier et Guérineau. Je l’ai achetée en juillet 2008, version de luxe en noir et blanc.
Absolutely fabulous.
On se sent un peu comme dans un western à la Eastwood. C’est très psychologique.
Un chasseur de primes déboule à Bartlesville, Oklahoma, 2 macchabées en croupe. Il les jette devant le bureau du shérif et rentre dans la ville sans déposer ses armes. Personne ne sait rien de lui, à part son nom : Jédediah Cooper. Etrange, car le shérif Stanton a déjà tué un homme de ce nom là par le passé…
Bon, c’est très mal résumé, mais vu l’heure je peux pas faire mieux. Et puis, je manque d’entraînement ; quand je serai un peu plus rôdée ça devrait s’améliorer (notez que j’emploie quand même le conditionnel).
Ce que je voulais vous dire c’est que la première fois que j’ai refermé cette BD, c’est comme si je m’étais pris une grosse claque sur la figure tellement j’ai été surprise par la fin. Maintenant, même si je sais ce qui va arriver, j’en reviens toujours pas de ce scénario. Un vrai bijou.

Rien que de l’eau

Je suis certaine que vous avez remarqué mon air maussade et renfrogné lundi soir.
Ceux qui étaient présents avant le début du cours savent pourquoi : j’ai cassé mon verre préféré en rentrant dans la salle.
Non mais vraiment, qu’est-ce que j’avais besoin de venir en cours avec un verre ?
C’est que j’avais oublié ma gourde. Et comme je peux pas faire un cours sans boire, j’ai pris le premier truc qui m’est tombé sous la main. D’où le résultat catastrophique que l’on sait. Certains d’entre vous se sont inquiétés de savoir si j’allais me remettre de ce terrible choc émotionnel. J’ai eu du mal, mais j’ai fait mon deuil et j’ai désormais un deuxième verre préféré (toujours un collector C~C). Merci de votre sympathie. Les autres, insensibles que vous êtes, je vous parle plus.

Voilà c’est dit. Mais à cause de cette pottokerie, j’ai passé une soirée horrible. Trois heures sans eau quand vous consommez habituellement un 1/2 litre à l’heure, je vous explique pas la punition. D’ailleurs, j’en vois certains qui ne boivent jamais pendant les cours : comment vous faites ??? Vous devez être complètement déshydratés à la fin. Alors, à moins d’aimer les crampes et les tendinites, je vous rappelle qu’il est primordial de boire avant, pendant et après un effort. De l’eau, de préférence. En petite quantité et régulièrement. Vous récupèrerez aussi plus vite et en plus c’est très bon pour la peau.

Donc dès lundi prochain, vous rajoutez une bouteille à votre panoplie du parfait petit danseur. Et moi, je penserai à ramener ma gourde.

Sacré week-end

On l’attendait tous avec impatience et on n’a vraiment pas été déçu. Je parle évidemment du week-end avec Nathalie Pelletier et Richard Poirier organisé par les copains de Moncaup Western Dance.
C’était énorme ! Les stages techniques, les chorés apprises (vous noterez que celle des novices avait un air de déjà entendu. Non ? Mais si, ici.), le spectacle des Country’s Beroy, le show de Nathalie et Richard, le bal, l’ambiance… tout.
Mais le top du top ça a quand même été la journée du dimanche et pourtant j’aurais pas parié un kopeck dessus. Parce que moi et les danses en couple… bof, bof. Je trouve ça beaucoup plus difficile que la line dance et puis, on peut jamais pratiquer parce que les cavaliers courent pas les rues, pardon, les prés, par chez nous. Donc, autant vous dire que j’attendais de ces stages uniquement un peu de technique pour m’améliorer en line, guère plus. Et là, la révélation. C’est sûr que  j’en ai bien bavé, surtout avec une rotule en moins à cause de ma dernière chasse aux cèpes, mais franchement ça valait le coup. Et puis, on m’avait trouvé un super bon cavalier (merci !), ça joue aussi.
En résumé : Nathalie Pelletier + two step + night club + excellentissime cavalier = j’ai envie de me mettre à la danse en couple. Mais oui, vous avez bien lu. Comme quoi, y a que les imbéciles…
Alors, qui veut danser ?