Leave the boat

A la demande de Cricri (voir commentaire sur l’article précédent), je reviens sur la danse apprise hier soir en troisième heure et qui vous a bien plu, semble-t-il.

Pour ceux qui n’étaient pas là, c’était Leave the boat de Rachael McEnaney. Comme j’en vois déjà certains derrière leurs écrans en train de se demander : « qui ça ??? », je vais vous rafraîchir un peu la mémoire.
Rachael McEnaney c’est une chorégraphe anglaise de talent, une danseuse époustouflante et une enseignante formidable. La preuve : elle a raflé 4 récompenses aux derniers Crystal Boots Awards (Instructor of the year, Choreographer of the year, Female personality of the year, Improver dance of the year : Rhyme or reason). Parmi les danses que nous connaissons, elle a chorégraphié Walk of life, Toes, Rhyme or reason (je viens de le dire) et collaboré à Doctor, Doctor, Country 2 step et bien d’autres encore. En général, à chaque fois qu’on apprend une de ses chorés, on entend : « oh elle est chouette celle-là ! », « j’adore ! », « la musique est super ! ». Et, bien entendu, « Leave the boat » n’a pas dérogé à la règle.

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Swiffer ? Non, Wrangler !

Après presque une semaine de repos forcé, je retrouve enfin mes activités habituelles. Fini donc les articles quotidiens sur le blog, j’ai du pain sur la planche IRL. Ah pardon, j’oubliais : IRL = In real life. Bon je traduis pas, quand même, vous avez compris.
Pour vous faire patienter jusqu’au prochain, je vous suggère d’aller faire un tour sur le site des Rebel’s Country Dancers d’Espoey où MA nous fait partager ses coups de cœur country. Vous y trouverez notamment une vidéo de Watermelon Crawl qui inspirera peut-être nos messieurs. 😆
Bon, c’est vrai que le gars en fait des tonnes, mais je me demande si MA n’aurait pas dans l’idée de mettre cette danse à la toute fin du bal de Sévignacq ce week-end, histoire de boucler le nettoyage de la salle plus vite… Affaire à suivre.
Allez, je vous laisse découvrir tranquillement le reste de la sélection de MA.
See you soon !!

DALP on TV

En début de semaine, je vous annonçais la bonne marche de mon projet de création de tee-shirts. J’étais déjà aux anges que vous soyez plusieurs à être intéressés par les vêtements Laureg ; mais aujourd’hui, je ne trouve même pas les mots pour vous dire combien je suis folle de joie de voir une autre de mes idées farfelues en cours de réalisation.

Quand je discute avec vous de la pluie et du beau temps, au bout d’un moment, on en vient toujours au même constat : y’a rien à la télé. Alors à force d’entendre tout le monde dire ça, je me suis demandée si je ne pourrais pas lancer ma propre chaîne de télévision. Bah oui, râler ne sert à rien, il vaut mieux se retrousser les manches et agir pour changer les choses.
Après quelques démarches infructueuses pour lancer une chaîne numérique, j’ai finalement opté pour un format web plus facile à mettre en place.

J’ai donc l’immense honneur, mesdames, mesdemoiselles et messieurs mes lecteurs, de vous annoncer aujourd’hui le lancement de PWT (prononcer pideubeulyouti), autrement dit, en bon « français » : Pottok’s Web Telebista. Ça en jette comme nom, hein ?
Mais le titre n’est pas tout, il faut aussi du contenu. Comme je débute dans ce type de média et que je n’ai pas de gros moyens, je vais commencer par vous proposer un seul programme. Selon les résultats des études de marchés, le plus intéressant pour vous et moi, c’est une émission de télé-réalité. Le concept est ancien mais j’espère que nous arriverons à renouveler le genre.

Voici donc en exclu totale « Pottok story » : 12 pottokak coupés du monde, filmés 24h/24 dans un pré d’un peu plus d’1 hectare, par 172 caméras et 801 micros. On ne vous cachera rien. On vous montrera tout. Et je vous le garantis : observer des pottokak brouter paisiblement de l’herbe toute la journée, ça va être passionnant !!!! vous allez vous sentir zen très vite parce que c’est fou ce que ça détend.
Vous êtes sceptiques ? Faites donc un essai : le flux vidéo est accessible depuis cette page.

PWT, 100% pottok, 100% gratuit.

PS : l’émission est commencée depuis ce midi, mais vous devriez vite saisir l’intrigue principale

Billy the Kid, oeuvres complètes

Après la version BD de Roberto Recchioni, Riccardo Burchielli, Cristiano Cucina et Werther Dell’Edera, la version pour enfants de Taï-Marc Le Thanh et Jacques de Loustal, voici une nouvelle interprétation de l’histoire de Billy the Kid façon héros romantique du XIXe siècle. Michael Onddatje nous le présente par bribes, accolant récits et fulgurances poétiques. La lecture est ardue mais l’impression saisissante. Sans cesse elle me renvoie au Desdichado de Nerval : Je suis le Ténébreux, – le Veuf, – l’Inconsolé… Allez donc comprendre pourquoi…
Billy the Kid en Arthur Rimbaud du Far West, il fallait oser. Et c’est sacrément bien fait.

Ci-dessous, une présentation de l’ouvrage par Olivier Barrot dans l’émission « Un livre, un jour » du 9 juin 1998 (Merci l’INA !)

retrouver ce média sur www.ina.fr

Courrier des lecteurs

Hier, j’ai reçu une plainte d’un lecteur que je ne nommerai pas : « …. J’écris avant tout pour m’insurger devant la disparition du  » j’aime » qui dispensait de laisser un com’ quand on était pressé ou à court d’idées  !!!! » me disait-il.
Allons, allons, pas la peine de mettre tant de points d’exclamation, ce n’est pas si grave.
Il faut me comprendre : je passe énormément de temps à rédiger des articles tous plus « brillants » les uns que les autres et, à chaque fois, je ne récolte au mieux qu’1 misérable petit « j’aime« .  C’est déprimant.
Et je ne parle pas du nombre de commentaires en chute libre depuis plusieurs mois. J’ai vraiment l’impression que ce que je raconte n’intéresse personne ; mais, à côté de ça, j’enregistre de plus en plus de visites. Hier, par exemple, vous êtes 169 à être venu lire mes dernières pottokeries. Bon, c’est peut-être pas un bon exemple, parce que hier j’ai aussi reçu une vingtaine de coms’ (records historique). Hum, c’est peut-être lié à la disparition du bouton susnommé… Les gens pressés auront pris le temps d’écrire et ceux à court d’idées, d’en trouver.
Quoi qu’il en soit, je m’en voudrais, très estimé lecteur, de te priver de ce plaisir quotidien que semble être pour toi le clic sur le bouton « j’aime« . Je le remets donc dans la minute. Pour l’instant, du moins. Mais s’il continue à être aussi peu utilisé, je le supprimerai définitivement car je ne vois pas l’intérêt de surcharger le blog de plugins qui ne servent à rien et, qui plus est, me donnent du boulot.
De plus, je me permets de rappeler que ce bouton n’a absolument rien à voir avec celui d’un certain réseau social. Si vous cliquez dessus, vous ne signalerez pas à la terre entière que vous avez une folle passion pour ce blog, car je suis totalement hostile à ce genre de pratiques. Ce que vous faites sur le blog reste sur le blog. A moins évidemment que vous ne souhaitiez le partager et, dans ce cas-là, vous utilisez la fonction « share and enjoy ! ».
Allez, cliquez bien.

PS : j’espère avoir au moins 1 « j’aime » pour cet article…